vendredi 20 novembre 2009

Sarkozy! Nous sommes bientôt un million à te dire "casse-toi pov'con!"

Ce blog est en sommeil, j'ai trop à faire… Je fais un saut aujourd’hui (20 novembre 2009) pour vous dire que si vous voulez avoir de mes nouvelles, vous devez faire un tour sur le site JE SUIS PARTOUT (les derniers jours de Nicolas Sarkozy), où j'ai été embauché en raison de mes relations un peu particulières avec le petit con de l’Elysée.
J'ai aussi ouvert un compte sur Facebook (faut bien être moderne!) Si vous voulez m'écrire, c'est là qu'il faut aller!
Et n'oubliez pas non plus le groupe Facebook Sarkozy! Nous sommes bientôt un million à exiger ta démission! Ils recrutent (à l’heure où j'écris ces lignes, ils sont 398.00).

Le 15 mai 2010, Fernand Buron revient, et il est pas content!

Bonjour, je m'appelle Fernand Buron mais c'est pas mon vrai nom, je suis né à Saint-Martin-les-Besaces (Calvados) et je suis un paysan en retraite. J'ai élevé des milliers de bêtes à cornes et trois enfants, je sais ce que c'est que la vie… J'ai eu le malheur de croiser le chemin de Nicolas Sarkozy en 2008 à la sortie du salon de l'Agriculture (j’allais, il en sortait) et comme je peux vraiment pas le blairer et qu'il a voulu me serrer la main alors qu'on n'a pas gardé les cochons ensemble, je lui ai dit Touche-moi pas, tu me salis! Là-dessus, ce petit con m'a traité de pauvre con. La suite, vous la connaissez…
Ce que vous ne savez pas, c'est que les services secrets ont essayé de me retrouver après, pour faire une opération de com’ à la gloire du président, ils m'ont proposé beaucoup d'argent, mais moi j'ai dit à Franck Louvrier (qui est venu me déranger, accompagné d'un drôle de type qui parlait du ventre, alors que je visitais le phare de Cordouan en famille, c'était à la mi-août 2009, pas longtemps après le malaise cardiaque du petit con…, je sais pas combien il est payé celui-là, en tout cas ils ont les moyens, hélicoptère, et tout ça!!), je lui ai dit au gars: Eh, oh, c'est pas écrit couillon! Foutez-moi la paix!
Par contre, quand Jean-Jacques Reboux (qui a l'air un peu nerveux mais bien sympathique, et puis c'est un fils de paysan…) m'a proposé d'être dans son roman, j'ai dit oui tout de suite.