mardi 1 novembre 2016

"Tu sais, c’est pas fini", Laura Pouget explique les origines du "casse-toi pov'con"

Je viens de lire dans Le Figaro qu’une jeune journaliste, Laura Pouget, venait de publier une enquête sur les 28 premières années de la vie du petit con. Ça s’appelle Tu sais, c’est pas fini (éditions La Tengo).
On y apprend que la première chose que le Minus a fait, sitôt son bachot en poche, a été d’aller faire un tour en Hongrie pour chercher son héritage de son grand-père maternel, 4.000 francs qu’il aurait planqué… dans son caleçon ! Comme dit le journaliste de 20 minutes, ça explique peut-être pourquoi le Minus, qui, à l’époque, avait l’honnêteté d’avouer "Je suis le nul de la famille", s’est comporté toute sa vie (et pas qu’avec moi) de façon aussi mal élevée !
Comme je le disais encore ce matin à Odette, espérons que le titre de ce bouquin ne sera pas prémonitoire, et que 2017 sera l’année où le petit mafieux de Neuilly ira enfin tester les paillasses de la section VIP de la prison de la Santé, le seul endroit où il serait digne d’aller !


vendredi 22 janvier 2016

Mea-culpa "Casse-toi pov’con !" : Fernand donne RV à Sarkozy et fait son outing : "Je m'appelle Albert"

Sarkozy, un CV bien garni
Dans son livre La France pour la vie [c’est ta môman qui t’a soufflé ce titre à la noix ?] le petit mafieux de Neuilly, dont je rappelle qu’il est mouillé dans 11 affaires judiciaires, avoue avoir commis 27 erreurs pendant son quinquennat.
Parmi celles-ci, le fameux Casse-toi pov’con ! qu’il m’a lancé au salon de l’Agriculture en mars 2008. Écoutez-moi ça un peu… "Ce fut un erreur, car il avait le droit de penser ce qu’il disait, même s’il n’avait pas à me le dire ainsi. Mais en lui répondant, je me suis mis à son niveau. Ce fut une bêtise que je regrette encore aujourd'hui. En agissant ainsi, j'ai abaissé la fonction présidentielle."
Dis donc, le Minus, insulter les gens, quand on est président, ça s’appelle pas une erreur, mais une faute ! Mais tu peux pas savoir, vu que la morale, tu t’en tamponnes le coquillart ! Quant à me mettre à mon niveau, permets-moi de rigoler ! Quand on n’arrive pas à s’exprimer correctement, on prend des cours de français, on ne devient pas président… 


Fernand Buron, alias Daniel Schröpfer, alias… Albert

Maintenant, si tu veux vraiment faire ton mea-culpa et pas seulement faire le zouave pour emmerder Juppé, Fillon et tes anciens sous-fifres de l’UMP qui ne se ramènent plus en courant quand tu les siffles  il y a une solution… Retrouve-moi sur le marché mercredi  27 janvier à 12h, à l’angle de la rue de Tolbiac et de la rue Glacière. Je ne suis pas rancunier, je suis même prêt à t’offrir un verre… À une condition : que tu viennes sans tes gardes du corps entretenus par la République ! Je t’offrirai un exemplaire de Casse-toi pov’con !, au cas où tes garde-chiourmes ne te l’auraient pas transmis quand tu étais à l’Élysée…
Daniel Schröpfer, alias Fernand, en dédicace à Arras

Ah oui, au fait… Je ne m’appelle pas Fernand Buron, comme je l’ai fait accroire pour avoir la paix, mais Albert
Et je ne vis pas à Saint-Martin-des-Besaces, mais au sud de Paris, quelque part dans le 13e arrondissement, entre la rue de Tolbiac et la porte d’Ivry.  Et je ne suis pas paysan, mais artisan à la retraite ! Ah, mais ! Quant au comédien qu’on a embauché pour donner le change, il s’appelle Daniel Schröpfer. Et si tu veux parfaire ta pauvre petite culture avant d’aller faire un tour à la prison de la Santé avec Guéant et Balkany, tu peux toujours aller le voir au théâtre, c’est un sacré artiste !