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Le 23 février 2008, au salon de l'Agriculture, Nicolas Sarkozy lançait à M. Fernand Buron, qui refusait de lui serrer la main: "Casse-toi pov'con!" Cette insulte, beaucoup de Français l'ont ressentie comme une insupportable marque de mépris à leur égard. Depuis, chaque jour apporte la preuve que ce président, qui habite avec beaucoup de désinvolture la fonction pour laquelle il a été élu, n'est pas vraiment le président de TOUS les Français, mais bien celui de ceux qui possèdent les richesses économiques de notre pays, qui l’ont, grâce à leurs deniers comme vient encore de le prouver l’affaire Sarkozy-Woerth-Bettencourt, porté au pouvoir.
Face à l'arrogance d'un pouvoir sourd aux revendications légitimes des plus démunis, qui monte les citoyens les uns contre les autres en surfant sur les pires peurs populistes et dont certaines politiques d’ostracisme nauséabondes font honte à beaucoup de Français, face à un pouvoir qui réalise méthodiquement la destruction des services régaliens de l’Etat (éducation, justice, sécurité, hôpitaux) au bénéfice de groupes privés sans foi ni loi, face à un pouvoir qui ne supporte pas la critique et criminalise les luttes sociales, face à un pouvoir, enfin, qui se soucie comme d’une guigne du Bien public, nous sommes des millions à penser que le seuil de l’intolérable est dépassé. Il est de notre devoir de dire à tous ceux qui ne supportent plus cette politique : « Réveillez-vous! Cessez d’avoir peur! » et nous insurger contre la radicalisation d’un pouvoir corrompu, policier, dont la politique du pire risque fort de mener à une explosion de violence sociale que certains apprentis-sorciers appelent de leurs vœux mais qui risque fort de laisser des traces durables dans notre pays.
Puisque le président de la République, au mépris de la Constitution dont il est censé être le garant, détient entre ses mains – ou entre celles de ses amis – tous les leviers du pouvoir (gouvernement assuré par les conseillers élyséens, Assemblée nationale-chambre d’enregistrement, Sénat aux ordres, justice, médias, télévision publique, etc), il est bon de rappeler que la maison qu’il occupe a pignon sur rue. Et que c’est aussi celle du Peuple.
C’est pourquoi M. Fernand Buron, insulté par le président en 2008, invite tous ceux à qui le président, à travers lui, a dit « Casse-toi pov’con ! » à se rendre symboliquement avec lui à l’Elysée le 23 février 2011, dont il n’est, rappelons-le, que le locataire très provisoire des lieux. A cette occasion, M. Buron remettra au président un exemplaire de CASSE-TOI POV’CON! livre de doléances empruntes du bon sens paysan qui est le est le sien.
Les citoyens qui souhaitent joindre leur voix à celles de M. Fernand Buron seront les bienvenus. Cette visite – tout à fait pacifique – pouvant être considérée comme la pose de la première pierre de luttes citoyennes qui restent à inventer…
En attendant, nous vous invitons à rejoindre et faire connaître le groupe Facebook, autour de vos amis, réels ou virtuels.
Face à l'arrogance d'un pouvoir sourd aux revendications légitimes des plus démunis, qui monte les citoyens les uns contre les autres en surfant sur les pires peurs populistes et dont certaines politiques d’ostracisme nauséabondes font honte à beaucoup de Français, face à un pouvoir qui réalise méthodiquement la destruction des services régaliens de l’Etat (éducation, justice, sécurité, hôpitaux) au bénéfice de groupes privés sans foi ni loi, face à un pouvoir qui ne supporte pas la critique et criminalise les luttes sociales, face à un pouvoir, enfin, qui se soucie comme d’une guigne du Bien public, nous sommes des millions à penser que le seuil de l’intolérable est dépassé. Il est de notre devoir de dire à tous ceux qui ne supportent plus cette politique : « Réveillez-vous! Cessez d’avoir peur! » et nous insurger contre la radicalisation d’un pouvoir corrompu, policier, dont la politique du pire risque fort de mener à une explosion de violence sociale que certains apprentis-sorciers appelent de leurs vœux mais qui risque fort de laisser des traces durables dans notre pays.
Puisque le président de la République, au mépris de la Constitution dont il est censé être le garant, détient entre ses mains – ou entre celles de ses amis – tous les leviers du pouvoir (gouvernement assuré par les conseillers élyséens, Assemblée nationale-chambre d’enregistrement, Sénat aux ordres, justice, médias, télévision publique, etc), il est bon de rappeler que la maison qu’il occupe a pignon sur rue. Et que c’est aussi celle du Peuple.
C’est pourquoi M. Fernand Buron, insulté par le président en 2008, invite tous ceux à qui le président, à travers lui, a dit « Casse-toi pov’con ! » à se rendre symboliquement avec lui à l’Elysée le 23 février 2011, dont il n’est, rappelons-le, que le locataire très provisoire des lieux. A cette occasion, M. Buron remettra au président un exemplaire de CASSE-TOI POV’CON! livre de doléances empruntes du bon sens paysan qui est le est le sien.
Les citoyens qui souhaitent joindre leur voix à celles de M. Fernand Buron seront les bienvenus. Cette visite – tout à fait pacifique – pouvant être considérée comme la pose de la première pierre de luttes citoyennes qui restent à inventer…
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